................. reciclar, reciclar em verde ou azul vou à fonte beber talvez eu esteja a necessitar de uma qualquer reciclagem na mente, naturalmente ou pode ser ainda que uma qualquer amnistia me salve .................
Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir, tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.
Tu te plais à plonger au sein de ton image; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur, Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes; O mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !
Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié, ni remords, Tellement vous aimez le carnage et la mort, O lutteurs éternels, ô frères implacables!
La mer, "Je l'embrasse des yeux et des bras, et mon coeur se distrait quelquefois de sa propre rumeur, au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Nous sommes tous les deux ténébreux et discrets". :) Obgda.
4 Comments:
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reciclar, reciclar
em verde ou azul
vou à fonte beber
talvez eu esteja a necessitar
de uma qualquer reciclagem
na mente, naturalmente
ou pode ser ainda
que uma qualquer amnistia me salve
.................
Abraço
Se achares uma fonte boa, conta-me, partilha esse conhecimento.
Talvez também eu ande a precisar de ser salva e amnistiada. Reciclada, sei lá...
Abraço, chuvamiuda.
Homme libre, toujours tu chériras la mer !
La mer est ton miroir, tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.
Tu te plais à plonger au sein de ton image;
Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur,
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes;
O mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !
Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié, ni remords,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
O lutteurs éternels, ô frères implacables!
L'HOMME ET LA MER (Baudelaire)
La mer, "Je l'embrasse des yeux et des bras, et mon coeur se distrait quelquefois de sa propre rumeur, au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Nous sommes tous les deux ténébreux et discrets".
:)
Obgda.
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